 |
La lucarne intervient comme un
gros œil, comme un tableau, comme
une figure de style évoquant la fonction du lieu : un atelier.
Le parement en bois apporte la touche chaude parfaitement intégrée dans l’espace arboré. |
 |
L’inclinaison
des façades, le grossissement du châssis
de la fenêtre résument la liberté de ton adoptée
par Bénédicte Langlois qui joue avec la grammaire du
plasticien : la perspective, le cadrage, la couleur, le fond & la
forme ,
le dessin au trait épais de l’ouverture vitrée,
le jeu de texture. |
 |
Première extension en ossature bois teinté au
premier plan ; à droite, création de l’atelier
d’artiste & d’une salle de musique. Le cadre jaune/vert de la fenêtre intervient comme un indicateur fort ou un « marqueur » plastique. |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
ETAT
EXISTANT . Agrandissement d’une habitation type longère. |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
Inscrite
perpendiculairement au volume existant, l’extension
permet la création d’un hall, un coin repas et la chambre
parentale à son extrémité. Avec sa toiture en ardoises
et son chien assis, le volume « nuit » reprend l’identité du
volume initial. |
 |
 |
Le
hall et le coin repas forment un tampon entre le volume existant
et celui de la chambre parentale.
Il est matérialisé par
une couverture en zinc. |
 |
Le
clin bois huilé en façade et la terrasse en bois apportent
une résonance chaude et confortable. |
 |
Le
parti pris est tourné vers l’esthétique et le
fonctionnel, prenant appui sur les fondamentaux : la lumière,
la matière, l’esprit du lieu. |
 |